Alors c’est le couvre-feu, comme dans une vraie guerre avec des armées de SRAS-COV2 qui foncent à partir de 21h dans toutes les rues jusqu’à 6h du matin. Le jour, elles se planquent pour ne pas être vues et ne sont absolument pas dangereuses. Vous pouvez vous entasser dans les transports, aller au boulot, à l’école, en fac, vous ne risquez rien du tout, mais à 21h… tous aux abris ! 

Bien sûr, il faut rembourser les 100 milliards pris dans nos poches et donnés aux grosses entreprises qui, pour certaines, en profitent pour licencier ou délocaliser. Mais  nous, la populace, après 21h, en Macronie, finis les apéros au café du coin, les restos. On rentre chez soi s’abrutir de séries téloches et d’infos qui plombent le moral, sans oublier de passer par Casino car il ne faut pas oublier de con-sommer. Et si on est en retard sans ausweis, on paiera 135 € d’amende et 1500 en cas de récidive ! 

Un conseil, au lieu de passer une soirée jusqu’à minuit chez des copains, restez-y jusqu’à l’aube ! Difficile de faire plus infantilisant ! 

Comme me disait un ami : « cette année j’ai été privé de liberté bien plus longtemps que les Balkani « ! 

Quant au énième discours de Macron,  RIEN, RIEN à propos d’ouvertures de lits dans les hôpitaux, d’embauche de personnel soignant, d’augmentations de salaire. Celles et ceux qui auraient pu excuser la gestion calamiteuse de la première vague, ne pardonneront pas la même gestion de la « supposée » seconde vague car ne confondons pas des personnes testées positives, souvent asymptomatiques avec des  malades du Covid. 

Ce couvre-feu dans les grandes métropoles est donc un nouveau coup de rabot sur nos libertés individuelles et on ne peut que s’étonner de ne pas entendre plus de voix s’élever contre cette imposture pour ne pas dire dictature ! 

La fin de mandat de Macron s’annonce difficile et ses médias, amis et serviteurs devront être très forts pour travestir la vérité afin d’étouffer la colère qui monte dans le pays. 

Rassurez-vous, braves gens, c’est pas le covid qui aura notre peau, mais bien plus la politique de Macron qui casse l’hôpital, notre protection sociale, nos retraites et tous nos acquis sociaux !

MARIE-ROSE PATELLI