Syndicat CGT des Retraités de Chaumont

La sanction d’un licenciement abusif doit dépendre du juge pas d’un barème

20 AVRIL 2015 |  PAR GERARDFILOCHE

François Hollande vient, à la télévision, de dire qu’il faut rassurer les employeurs sur le « coût d’un licenciement ».

Comme si c’était ce qui les empêche

d’embaucher !

Comme s’il fallait les encourager à ne pas craindre de licencier.

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Pour la libération

de Asli Erdoğan

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Bravo Raymonde, t’as mis Pénicaud KO !

Notre panneau hebdomadaire sur le marché de Chaumont (ci-dessus) a rencontré un grand succès. De nombreux retraités (mais pas que) se sont arrêtés devant,pour débattre pouvoir d’achat, hausse de la CSG et des prix.Score sans appel, le beau sourire de Raymonde-Retraitée l’a emporté sur la morgue de Danone-Pénicaud.

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Nature à vendre

Comment en est-on arrivé à mettre un prix sur une forêt primaire, à chiffrer le service de pollinisation des abeilles (200 milliards de dollars) ?  Un article de  FRANÇOISE DEGERT

Parc national : pour un référendum

Déclaration du syndicat CGT des retraités de Chaumont

Une exigence qui doit rassembler les forces attachées... LIRE LA SUITE

La pétition : 160 114 signatures et une lettre à madame le Préfet

Dématérialisation...

La pétition forte de 160 000 signatures (un succès incroyable dixit le Journal de la Haute-Marne) devait être remise à madame le Préfet à l’occasion de l’initiative unitaire du 22 décembre.  Le syndicat, pour montrer son opposition à la politique dite de dématérialisation a décidé lui aussi de dématérialiser les rapports avec la représentante du gouvernement en lui envoyant...par internet  Explications... Lire La Lettre

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12 avril 2021

Les Statuts

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Parc national

Le journal du Syndicat

Animal Explora 

Un projet contre nature

l’Affranchi nous gratifie d’une page sur le dossier Animal Explora. Avec cet article, le journal persiste et signe : Animal Explora est bien un projet « contre nature », bien éloigné des ambitions écologiques affichées...

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Animal explora :

La nature en 3D... Au fond d’un tunnel

Vendredi 13 septembre, le président du Conseil départemental est venu présenter aux élus de Châteauvillain et à quelques invités la nouvelle mouture du projet Animal Explora...               LIRE LA SUITE

Haute-Marne : moins 2444 habitants en un an !

SE DESERTIFIER : STOP OU ENCORE ?

C’est rituel. Fin 2019 tombent les chiffres de l’INSEE. Et ils sont implacables. Pour reprendre une expression que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître : « C’est du brutal ! » Notre Département, le plus petit et plus mauvais élève du Grand-Est avec 175 640 habitants en perd 2 444 sur l’année précédente. La plus grosse perte depuis…ben en fait, depuis toujours (...Lire la suite)

Zones de non-traitement

Lettre du syndicat à Madame le Préfet de la Haute-Marne

Le 13 décembre 2019,  je vous adressais un courrier, au nom du syndicat CGT des retraités de Chaumont à propos des zones de non-traitement.

Deux mois après, je n’ai toujours pas reçu de réponse. Pourtant les inquiétudes demeurent. Les nouvelles règles annoncées le 20 décembre dernier par le gouvernement ne sont pas de nature à  nous rassurer... LIRE LA SUITE

et Télécharger la lettre du 13 décembre 2019 à la préfète de Haute-Marne

Lettre_Préf_Traitemt.pdf

Syndicat CGT des Retraités Multipro de Chaumont

Maison des Syndicats - 24 avenue du général Leclerc

52000 Chaumont

nous écrire : secretariat@cgtretraites-chaumont.fr

Pour nous contacter

Personnes âgées : nettoyage par le Covid ?

Mensonges, mépris, enfumage... Depuis deux mois, nous vivons une situation où chaque parole officielle mériterait, si nous n’étions confinés, de battre le pavé pour dire leur fait à ceux qui gèrent cette crise sanitaire comme leurs placements en Bourse. LIRE LA SUITE

























5411 signatures Pour que la Réa reste à l’hôpital de Chaumont...

3101 sur internet 2310  sur papier

Près de 800 collectées sur le marché, 400 dans le hall d’entrée de l’hôpital avec nos camarades du syndicat SUD Santé, 300 au porte-à-porte par nos adhérents du quartier de La Rochotte, 200 au Cavalier, une centaine dans le secteur de Nogent.... Et, bien sûr, un grand merci à tous nos amis connus ou anonymes qui nous ont renvoyé des signatures par la poste ou par mail.

Nous avons décidé de clore notre pétition le 16 juin. Mais l’action pour la Réa va continuer dans des formes qui seront arrêtées dans l’unité avec les autres organisations syndicales de retraités et avec toutes les personnes attachées à la défense de la santé dans notre département...

Le syndicat CGT des retraités de Chaumont

La revue de presse, c’est ici

Les photos de la manifestation du 16 juin : https://photos.app.goo.gl/UpMixPWNNtNHPx8aA

Des milliards pour le CAC 40

Sauver l’économie… Cette injonction gouvernementale, rebattue quotidiennement, peut avoir du poids dans l’opinion puisque la sauvegarde de la machine productive conditionne celle du gagne-pain. Ne pas perdre « son » travail, voilà la préoccupation majeure de millions de citoyens.

Pour d’autres, c’est avoir de quoi se nourrir quand la barre des 10 millions de personnes en-dessous du seuil de pauvreté vient d’être franchie et, pour ne pas être à la traîne, le troisième trimestre 2020 s’est achevé avec un record des plus sauvages : 700 000 suppressions d’emplois et ce sont surtout les jeunes, en contrat d’intérim pour la plupart, qui paient le prix fort.

Cette situation est-elle inéluctable ? Ne serait-ce pas le sacrifice auquel doit se soumettre le peuple pour « redresser » le pays en temps de pandémie ? Mais cette « économie », est-elle vraiment au plus mal ?

Pour des milliers de TPE et PME, de petits commerces et leur personnel, la fermeture est d’ores et déjà actée ou envisagée. Le ministre Bruno Le Maire n’a-t-il pas laissé entendre que le pire était à venir et qu’il fallait s’y préparer ? Marasme et misère pour le plus grand nombre.

Il y a cependant une fraction qui domine l’économie et en détient l’essentiel : l’eau et l’énergie, le métal et sa transformation, le pétrole et tous ses dérivés, les télécommunications, la garde des fonds, leur distribution et les flux de l’argent, la distribution des produits et marchandises et elle a mis aussi le grappin sur l’information, chaînes télévisées et presse, pour peser sur les consciences. Cette fraction se nomme « CAC 40 », ce groupement chez qui les gros actionnaires font bombance et se fichent royalement de l’état de santé physique et moral du pays, comme le souligne l’ « Observatoire des multinationales », organisme qui a pour objet d’y voir plus clair dans la pratique honteuse des grandes entreprises.

C’est ainsi que, de 2000 à aujourd’hui, Orange a supprimé 42% de ses effectifs, Total 35% en deux ans, les bénéfices y ont pourtant progressé de quelque 60% entre 2017 et 2019. Alstom, avec un effectif en baisse, n’affiche pas moins de 140% de gain pour la même période. Carrefour, dont l’effectif a chuté de 15%, dépasse les 300% ! Du jamais vu ! Et ce ne sont là que quelques exemples…

Omissions et mensonges de la Macronie masqueront-ils plus longtemps cette cruelle vérité : le pays doit-il s’enfoncer davantage pour que les super-nantis, capitaines d’industries, banquiers et prédateurs de tout poil s’empiffrent jusqu’à l’outrance ?

Jack Formet

Exposition d’Octobre

250 visiteurs à la 6e édition de l’Expo d’Octobre

Drôle d’ambiance pour cette exposition organisée par le syndicat CGT des retraités de Chaumont. Masques, gestes barrières, contraintes sanitaires que l’on peut comprendre et admettre auxquelles s’ajoutent des décisions administratives totalement ineptes... De quoi désespérer, céder à l’air du temps, aux discours moralisateurs et autoritaires et arrêter toute activité ? Ce n’est pas du tout dans les habitudes du syndicat des retraités de Chaumont qui avait contre vents et marées tenu à maintenir cette 6e édition de l’Expo d’octobre. Acte de foi et de résistance, avait tenu à préciser Richard Vaillant, son secrétaire.

Deux photographes haut-marnais de renom avaient accepté l’invitation du syndicat : Domi Decker et Éric Girardot. Elle et il avaient choisi de mettre leurs œuvres en miroir pour une exposition étrange et merveilleuse. Avec une touche de fantastique comme peut l’être la nature ou la forêt de Haute-Marne...

Nos photos : en haut à gauche le vernissage (limité à 20 personnes). En haut à droite Domi Decker, Éric Girardot et Richard Vaillant pour la présentation de l’expo. En bas, photos des artistes.

PALESTRA  : LE renversement des valeurs

À l’Agglo de Chaumont, on préfère le privé au bien commun !

Pour la gestion de son futur complexe aquatique, l'Agglo a choisi la formule DSP (délégation de service public) qui, tout en rémunérant moins le personnel, coûtera plus cher à la collectivité. La majorité des élus communautaires... LIRE LA SUITE

Palestra : nos impôts c’est pour le service public, pas pour le privé !

Ce million qui intéresse le privé !

Lorsque la ville de Chaumont a confié la gestion de ses piscines à l'Agglo, elle s'est engagée à apporter une compensation sonnante et trébuchante aux déficits structurels des trois sites (Gagarine, Jean-Masson et Cavalier). Depuis, elle verse chaque année un million d'euros à la grande collectivité. LIRE LA SUITE

Chaumont : participation à 0,0185 %

Pour vous manants, un peu d’argent !

Une promesse est une promesse. La cheffe des mercenaires* (ils sont plus de sept…) de tout Chaumont sauf ses extrêmes, l’avait promis, juré -croix de bois, croix de fer, si je mens…- la population aurait son budget d’à elle et rien qu’à elle. Parole tenue. S’en suivit au Conseil municipal un débat un peu houleux mais consensuel avec au moins un extrémiste sur trois. Au terme duquel la Lider maxima, dans un élan d’une grande générosité et sans barguigner, a lâché : « Ce sera 100 » Entendez 100 000 euros. Face aux récriminations, hoquet de deux adjoints (près de 30 000 € d’indemnités par an à eux deux) comme quoi c’est déjà large abondance. Qu’il ne faut point non plus trop « donner », sinon ils et elles feraient bombance. (Pardieu, sur un budget total de 54 millions, 100 000 ça fait 0,018 %). Et avec ces gens du bas qu’on sait pas même s’ils ont voté, dilapider notre bon argent ? Sûr que ce n’est pas le fond de poche, la « ferraille » comme on disait autrefois. D’accord, d’une manière ou d’une autre, c’est eux qui le versent ! Mais les élus, c’est nous qu’on décide. Et si pour 100 000 t’as plus grand-chose, « l’essentiel c’est de participer », disait le baron de Coubertin.

*Déf. : « Qui n'agit que pour un salaire, est inspiré par le profit. »

Stress, anxiété, psychose, dégâts sur la santé psychique des Français

  1. G.Tardenois - 15 janvier 2021

La crise sanitaire par l’usage politique dont joue le pouvoir (et les lois qui l’accompagnent, plus qu’elles ne la solutionnent) crée un climat de peur. Celui-ci est d’autant plus vif qu’il nous fait accroire que nous sommes soumis à un « danger de mort imminente »  ... LIRE LA SUITE

Commune de Paris

18 mars 1871 – 28 mai 1871

À partir du 18 mars, dans notre journal et sur notre site, évocation de la Commune de Paris ; des récits, des images, des portraits  de celles et ceux qui luttèrent pour les libertés et le progrès social.

Des chansons aussi...

Les représentant.e.s des salarié.e.s d’EDF alertent sur le projet Hercule qui n'a rien d'un mythe.

C'est un réel projet de démantèlement d’EDF, pensé conjointement par le gouvernement et la commission européenne.

L'énergie est un bien commun vital pour les citoyens et l'économie, déterminant pour la transition énergétique. Comme en 1946, l’État doit reprendre la main sur ce secteur pour le préserver. Hier pour reconstruire le pays, aujourd'hui pour sauver le climat.

Si Hercule voit le jour, le point de non-retour de la privatisation amorcée en 2004 sera franchi.

Votre facture d'électricité augmentera. Notre souveraineté énergétique sera bafouée et l'énergie deviendra le talon d’Achille de la France.

Signez la pétition sur

www.energie-publique.fr

L’énergie est un bien commun

Déchets nucléaires : une note explosive souligne les lacunes du projet Cigéo

15 janvier 2021 / Émilie Massemin (Reporterre) 

Mercredi 13 janvier, l’Autorité environnementale a livré un avis très critique sur le projet d’enfouissement des déchets nucléaires Cigéo, dans la Meuse. De nombreux aspects — jusqu’au choix du mode de stockage — y sont remis en question. Décryptage. (... LIRE LA SUITE)

Lire l’appel des représentant.e.s

des salarié.é.s d’EDF (...ICI)

Hôpitaux Sud Haute-Marne

La période écoulée ne se prêtait guère à une thérapie de choc supplémentaire pour un système hospitalier déjà mis à mal depuis des décennies. C’est pourtant ce qu’ont connu les trois établissements du sud haut-marnais. En août 2019, l’ARS Grand-Est décidait, en effet (... LIRE LA SUITE)

Haute-Marne : DÉSERT PROGRAMMÉ ?

En avril 2020 un événement a fait jaser. S’appuyant sur les données de l’opérateur Orange, l’Insee a produit des estimations sur la migration suite au confinement. Paris perdait 11 % de sa population, ce n’est pas mince ! Et, surprise, entre départs et retours, la Haute-Marne se voyait attribuer un solde positif (mais provisoire) de 4 000 âmes (...LIRE LA SUITE)

L’électricité n’est pas une affaire d’épicier !

Des enseignes de grande distribution ont pour projet de fournir de l’électricité aux particuliers. Après Casino, c’est Leclerc qui vient d’annoncer qu’il se lance à son tour dans la course. Le principe se veut séduisant : permettre au consommateur de faire des «économies» en lui reversant une partie des factures... en bons d’achats chez Leclerc !

La CGT Énergie s’est indignée contre   « cette offre soit-disant alléchante » qui permet à Leclerc de mettre en place une véritable économie circulaire (...) qui oblige l’usager à consommer chez elle ! Faire croire aux consommateurs qu’ils feront des économies sur leur facture tout en maintenant une qualité de fourniture d’énergie et une qualité de service public est illusoire : un prix bas pour tous n’est obtenu que lorsque le secteur est organisé et structuré en dehors d’une logique marchande ».

"Elle est Pfizer "

Les Goguettes (en trio mais à quatre)

Les jeunes dans La galère...

G. Tardenois,  syndicat CGT des retraités de Chaumont

Le 21è siècle vient de passer ses vingt ans. Mais qu’en est-il de la jeunesse née avec ce siècle ? D’autres générations ont connu des « 20 ans » difficiles, parfois terribles . Faut-il rappeler, entre autres, ceux qui « eurent 20 ans dans les Aurès ». Mais toujours, au pire des difficultés, demeurait l’espoir, la garantie « d’un jour d’après meilleur ».

La covid a posé sa chape de plomb sur l’existence de chacun. Un remake des « Jours Meilleurs « nous est promis pour l’après qui serait déjà là. La célèbre phrase de Paul Nizan : « J’avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie. » reste d’actualité. Après quelques autres générations qui l’ont connue saumâtre, la situation de la jeunesse est aujourd’hui d’une extrême précarité. Privée d’abord et au premier chef de cette fameuse 20è année censée incarner l’insouciance et la liberté, nos jeunes se voient imposer de passer directement de 19 à 21 ou 22 ans.

Impasse terrible dans un empilement de restrictions et d’interdits. Où à la fête de cet âge se substituent de longues files pour un accès à la nourriture, des choix fous entre un essentiel et un autre. Où ceux qui n’ont, hélas, pas l’aide des parents ou des grands-parents sont confrontés à la voracité des banques. Où plus encore que le reste de la population, les problèmes psychologiques font des dégâts dont nul ne sait ce qu’il restera.

C’est à ce tableau trop rapidement brossé qu’il faut évaluer la méprisante réponse que représente l’octroi aux étudiant.e.s de repas à  1 €, à condition, bien sûr, d’avoir un accès facile au resto’U. Ce qui est loin d’être le cas de la grande majorité. Dans le même temps, la détestable réforme de l’APL au 1er janvier a jeté dans la misère des milliers de jeunes. Et pour comble, face à la détresse et l’isolement,

Solidarité avec Marie-France

La France n’est pas l’Arabie Saoudite, nous l’accordons volontiers. Là-bas, le délit de lèse-majesté y est passible de la peine de mort. D’où de difficiles manifestations pour mettre fin à ce système inique. Après ce (très) petit tour « d’allez voir en dictature » auquel nous avons été sommés, qu’en est-il de la démocratie et des libertés en France, aujourd’hui ? La question est bien trop complexe pour être résumée en quelques mots. Au sommet élyséen de la pyramide nous sombrons chaque jour un peu plus dans l’étrange pays qui est le nôtre : l’Absurdistan (...LiRE LA SUITE)

Pour défendre son action climatique, le gouvernement s’offre les services d’un cabinet de conseil international

13 février 2021 / Gaspard d’Allens (Reporterre) 

Pour évaluer les conséquences du projet de loi Climat sur les émissions de gaz à effet de serre, le gouvernement a sollicité Boston Consulting Group, un cabinet de conseil en affaires avec le CAC40. Des députés et des syndicalistes s’inquiètent de potentiels conflits d’intérêts et se demandent pourquoi le Haut Conseil pour le climat n’a pas été mandaté (...SITE REPORTERR

Chaumont : le cœur en arythmie


Pour développer l’attractivité du centre ville, l’adjoint au maire chargé de la sécurité et l’élu chargé du commerce ont eu une «bonne» idée : augmenter les PV de 17 à 25 euros.

Autre «bonne» idée : installer des caméras pour visionner les véhicules en stationnement gênant ; elles permettront de dresser des PV par vidéo, sans avoir à se déplacer. Pas besoin de personnel. C’est-y pas beau la technologie ? 

Revitaliser le « Cœur de ville» par la surveillance et la répression, pas sûr que cette politique de « père Fouettard » attire des clients vers les commerces de centre ville !

Améliorer le stationnement, c’est (aussi) entretenir les parkings gratuits existants. Le parking Voltaire mériterait la réfection du marquage au sol, quant au parking du boulevard Barotte, il nécessiterait un goudronnage complet suivi d’un marquage au sol. Mais cela ne figure apparemment pas dans les priorités de la municipalité. Pour les priorités, il faut payer !

Adriana Fernandez

Les plus belles chansons de la Commune de Paris

L’expérience révolutionnaire du printemps 1871 a inspiré un grand nombre de poèmes et de chants. Engagés dans les rangs des insurgés, les auteurs populaires Jean Baptiste Clément et Eugène Pottier donneront notamment à la Commune de Paris ses airs les plus célèbres.

https://parislightsup.com/2021/02/10/les-plus-belles-chansons-de-la-commune-de-paris/?fbclid=IwAR03CGqVse_LjfHGc87kpsBDe23eo-qGvP6umInoqV7tLJu2DSJhkNEK7so

Déclaration du syndicat CGT des retraités de Chaumont

DOCTO (PAS) LIB...

Dans l’Affranchi du vendredi 5 février 2021, un lecteur témoigne de ses difficultés à pouvoir trouver un-e médecin pour assurer son suivi médical dans quelques mois, ce qui ajoute une cruelle angoisse à ses pathologies. 41 coups de téléphone pour s’entendre dire qu’il fallait attendre 20 heures et se rendre à la maison médicale ou aller aux urgences. Ce témoignage n’est, hélas, pourtant pas isolé et chacun a pu l’entendre autour de lui ou même vivre les mêmes difficultés.

Là encore, la situation était prévisible puisque le Diagnostic Local de Santé du Pays de Chaumont de décembre 2018, notait, entre autres difficultés, celle de la médecine de ville. Avec 8,6 médecins pour 10 000 habitants, le pays de Chaumont (... LIRE LA SUITE)

Conseil municipal de Chaumont (suite)

Culture bobo...

RICHARD VAILLANT, syndicat CGT des retraités de Chaumont

Tout le monde est à peu près d’accord : aucun argument, économique, social ou sanitaire ne peut justifier la fermeture des théâtres, des musées, des cinémas...  LIRE LA SUITE

Tous égaux pour la vaccination ?

Dès lundi 9 heures nous étions tous sur le pied de guerre, branchés sur le standard de l’hôpital pour tenter de décrocher l’impossible rendez-vous de vaccination.

Las, entre le « toutes les lignes de votre correspondant sont occupées »   et une heure plus tard, « tous les rendez-vous de vaccination ont déjà été réservés », il y a de quoi être découragé.¨

Pourquoi la CPAM qui a envoyé à chaque personne de plus de 75 ans un courrier pour l’engager à se faire vacciner, n’a-t-elle pas proposé en même temps un planning de vaccination ? La réponse est évidemment à chercher du côté de la pénurie de vaccin !

De fait, nous ne sommes pas égaux devant la vaccination. Les plus « branchés » des plus de 75 ans se rendent sur les plateformes privées, Doctolib ou autre et peuvent prendre des rendez-vous pour se faire vacciner là où il y a de la place. Du coup, les personnes âgées dépourvues d’internet ou qui ne savent pas s’en servir sont exclues et n’ont plus qu’à attendre la prochaine annonce d’arrivée de vaccins et c’est reparti avec le téléphone etc…

Adriana Fernandez

Tableau et commentaire dérobés sur la page Facebook d’Agnès Bihl

Chaumont Centre ville

Ce fourre-tout qu’on nomme projet

Des décennies durant, nos municipalités nous ont présenté des projets censés inverser la courbe des chiffres de population. A chaque fois, ça s’est accompagné de belles et coûteuses études d’experts, puis de plus ou moins dispendieux travaux. Or, non seulement ça n’a jamais attiré personne à Chaumont, mais ça n’a même pas retenu les habitants qui décidaient de quitter la ville.

L’aménagement du quartier de la gare, avec ses déviations, ronds-points et passerelle, fait partie des derniers grands dossiers du genre. On aurait pu faire plus simple et moins cher. Mais les experts avaient jugé qu’il fallait au moins ça pour changer les choses. Tu parles !..

On nous refait le coup aujourd’hui, à grands coups de communication, avec le formidable projet «Cœur de ville». Pensez donc, 80 millions d’euros sur 5 ans, ça va forcément faire bouger les choses !

Comme d’habitude, on va commander des études à de prestigieux et chers cabinets qui vont, en termes savants et volumineux ouvrages, nous dire ce que nous savons déjà. Pourvu qu’ils ne redécouvrent pas encore la nécessité de rénover les entrées de ville. On a donné !

Mais le Journal de la Haute-Marne nous rassure. Pour lui, «Cœur de ville», c’est du concret. La preuve : 20 projets «leviers» sont déjà programmés. Et il nous cite : la réfection de la basilique, les rénovations de l’ancien lycée Bouchardon, de la Résidence Jacques Weil, de l’Hôtel de ville, des Silos... puis des remises en état à l’ancienne école Michelet ainsi qu’à l’ancienne Sainte-Marie...

Bref, rien que de l’ordinaire municipal en cours, ou bien en discussions déjà depuis des décennies. Appeler «Projet» ce joyeux fourre-tout, c’est un peu gonflé.

Le seul intérêt de toute cette mise en scène, c’est certainement de pouvoir récupérer des subventions nouvelles auprès de l’Etat, de la Région, du Département, de l’Agglo... C’est toujours ça, me direz-vous. Mais en communiquant tous azimuts, la ville cherche aussi à faire passer l’idée qu’elle nous prépare des jours meilleurs. Au risque de décevoir toujours plus de citoyens qui, au mieux, se détourneront toujours plus des urnes.

On ne peut complètement exclure l’hypothèse que d’ici là un expert venu d’ailleurs aura pondu une idée nouvelle. Celle-ci finira peut-être même en projet... que la ville nous imposera ensuite, après une de ses pseudo-concertations.

Cela fera encore grincer des dents. Mais ce sera toujours plus facile pour elle que de s’appuyer sur les forces vives locales.

Elté

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Le printemps des luttes

Déclaration de la CGT

Malgré la situation sanitaire, outre les travailleurs et travailleuses de la culture médiatisés qui occupent plus de 70 lieux de spectacle, de nombreux salariés, avec les organisations CGT, sont mobilisés dans les entreprises et les services.

Toutes et tous agissent pour le maintien et le développement de l’emploi, pour leurs conditions et protections au travail, pour le sens de leurs missions, pour des revalorisations salariales… Ils revendiquent des embauches en emplois stables et luttent contre la généralisation de la précarité.

Ces mobilisations, avec des modalités d’actions différentes, se nourrissent les unes des autres.

Dans les territoires, des convergences sont organisées. Et les luttes victorieuses encouragent l’engagement et la détermination de celles en cours.

Des dates de mobilisations professionnelles sont programmées par plusieurs fédérations. Les retraités ont été dans la rue le 31 mars, à l’appel de plusieurs organisations, pour la revalorisation des pensions de retraite, l’accès aux soins, notamment à la vaccination et exiger le maintien et le développement des services publics.

La CGT a appelé ses organisations à amplifier ce foisonnement d’actions en veillant à ce que les salariés soient complètement associés à leur construction et en travaillant des convergences revendicatives entre les différentes professions en lutte sur un même lieu de travail, sur un même bassin d’emploi.

La CGT appelle à réunir les syndicats localement pour organiser les conditions du rassemblement des salariés de différents champs professionnels en partageant leurs revendications et leurs modalités d’action.

Pour ouvrir le débat et construire des alternatives avec les salariés, la confédération a édité un 4 pages « Pour l’emploi, imposons une autre logique ».
Cet outil compile les propositions CGT pour la défense de l’emploi, pour des augmentations de salaires, la réduction du temps de travail, le développement de l’industrie et le renforcement des services publics. Il est disponible dans toutes les unions départementales CGT.

Chaque initiative en ce printemps confiné sont des points d’appui pour construire et amplifier les mobilisations afin de construire de nouvelle journée d'actions dont le rendez-vous annuel de luttes du 1er mai.

Télécharger le N°240 du Journal des retraités de Chaumont

Journal des retraités 240.pdf

APL, assurance chômage, loyers, chômage partiel, salaires, pensions...

Une crise sociale sans précédent

Devant un parterre de patrons, Le Maire déclarait en octobre dernier : « C’est dans un moment de crise qu’il faut profiter de l’argent de l’État. Croyez-moi, ce n’est pas tous les jours que vous entendrez un ministre de l’Économie vous dire : vous avez besoin d’argent, je vous en donne ». Comme il fallait s’y attendre, les applaudissements furent nourris à l’adresse du grand argentier. Mais la chose promise n’est-elle pas due... (LIRE LA SUITE)

Agglo de Chaumont : droit dans le mur

G. Tardenois, syndicat CGT des retraités de Chaumont

Dans de précédents numéros, nous avons critiqué vivement la loi NOTRe qui, sous couvert de décentralisation a, pour l’essentiel, dessaisi les territoires locaux des décisions qui les concernent pour les transférer à  des agrégats d’occasion : les Agglos, les Groupements santé (à cheval sur plusieurs départements), les grandes régions, etc.

Nous y avons souligné que les effets étaient loin d’être neutres pour les populations. Déficit démocratique, démographique, social et…financier. Le dernier article en date, signé Elté, titrait significativement : « Mais où vont les Agglos ? Dans le mur, évidemment ! ».

Cette pointe d’ironie ne faisait que souligner les contradictions dans lesquelles les partisans de ce détricotage se trouvent piégés. Pour mémoire, citons-en cet extrait : « Au lieu de préserver les vrais lieux de démocratie locale et  de favoriser le développement de syndicats intercommunaux répondant à des besoins et projets communs, on a préféré tout casser pour monter des structures rigides, éloignées, coûteuses et finalement incapables de relever les défis de l'époque. L'union artificielle et contrainte fait la faiblesse ! »

Toutes ces remarques sont pleinement justifiées au vu des bisbilles et déballages que nous offre l’Agglo de Chaumont depuis son renouvellement.

Les difficultés budgétaires, pour une bonne partie préexistantes au changement de présidence, ont été soulignées dès le premier Conseil.

Jeudi 07 avril, il s’agissait donc d’acter les décisions qui en découlaient. Et notamment une éventuelle augmentation du taux de taxe foncière propre  à couvrir, entre autres, le surcoût de la crise sanitaire et la hausse retoquée par l’État de la taxe d’habitation, dite « taxe Palestra ».

Or le seul constat qui en est sorti est un désaccord soldé par un vote de rejet. Il est vrai que la proposition du président Martinelli n’y allait pas de main morte, avec 60 % de majoration du taux. Ce que le JHM a réduit au raccourci : « une augmentation de 121 €…somme peu élevée pour les élus favorables ». Réflexion pour le moins désinvolte lorsqu’on la confronte à la détresse des nombreux locataires des quartiers populaires dont le revenu est de plus ou moins 1 000 € par mois (sous le seuil de pauvreté), pour lesquels cela représente un prélèvement de plus de 1 %. Car il paraît inévitable que cette ponction soit répercutée par les propriétaires sur les loyers, y compris des plus modestes qui subissent déjà une réduction drastique de leur APL allant parfois jusqu’à 200 € par mois… G.T.

Télécharger le N°239 du Journal des retraités de Chaumont

Journal des retraités 239 .pdf

La misère s’AFFICHE à Chaumont

Dernièrement, le JHM a consacré un article à Kévin, un sans-abri arrivé à Chaumont. Le conseil municipal s’en émeut et madame la maire incite des associations à créer un lieu d’accueil et d’hébergement pour ces citoyens de la rue. Il semble que la municipalité ne souhaite pas directement affronter ce problème, pourtant les maires ont d’immenses pouvoirs en matière d’action sociale et Kévin n’est pas un cas isolé sur Chaumont.

Nous croisons régulièrement, souvent en achetant notre baguette de pain, des personnes recroquevillées dans les quelques biens qu’il leur reste, avec souvent un chien comme compagnon, éveillant en nous des sentiments contradictoires : tristesse et compassion, peur ou méfiance, gêne et sentiment d’impuissance, générosité.

Sans doute faut-il changer notre regard. Sous cette silhouette dérangeante, il y a un homme ou une femme qui a un nom, une histoire, qui vit la solitude, le manque d’intimité, la perte des codes sociaux, de l’estime de soi. Le lien social est aussi vital que celui de manger.

Nous prenons acte de la décision de la municipalité, mais au moins qu’elle soit le moteur de la mise en synergie des diverses associations susceptibles d’œuvrer dans ce domaine en prenant en compte la diversité des besoins, sans oublier le compagnon animal, ultime ami de Kévin et des autres. Il y a URGENCE et à ce jour, apparemment, rien n’est envisagé…

Mais la misère est comme un iceberg et la rue n’en est que la partie visible. Si l’on se réfère aux indicateurs de l’INSEE pour l’identifier : revenu, éligibilité aux aides sociales fluctuantes, sentiment d’exclusion, non accès à autant de bien-être que la majorité de la population, le nombre de personnes entrant dans ces critères est en train d’exploser : jeunes, étudiants ou non, travailleurs pauvres, chômeurs, retraités. Comme le témoigne l’article « pauvres de nous » dans un précédent journal de notre syndicat, bon nombre de locataires de Chaumont Habitat en font la cruelle expérience avec la baisse de l’APL, non compensée par la baisse des loyers comme initialement annoncé, les hausses des coûts de mutuelle et de l’électricité, bien supérieures aux miettes accordées aux pensions.

Et que l’on ne nous dise pas que c’est la faute au virus ! Des milliards de dividendes continuent à être distribués.

Louis Laprade - 2 avril 2021

Le gouvernement ne tire aucune leçon d’une année de crise sanitaire !

Une situation sanitaire explosive, des contaminations qui s’accélèrent, particulièrement avec les variants du virus et qui touchent de plus en plus de personnes et de régions, une surmortalité constatée proportionnelle aux inégalités sociales ou territoriales et le président de la République s’auto-congratule dans son allocution télévisée.

Alors que la vie familiale, professionnelle et sociale de tous est mise entre parenthèses depuis plus d’un an, aucune annonce gouvernementale ne témoigne d’une prise de conscience des raisons objectives de ce troisième confinement nationale qui ne dit pas son nom. Pas un mot sur ce qui a conduit les hôpitaux publics et les services de santé en général à être au bord de l’implosion.

La CGT alerte, depuis des mois, sur les suppressions de moyens, en particulier les besoins en recrutement de personnels soignants formés, qualifiés et payés, la nécessaire ouverture de plus de lits particulièrement en réanimation, la réouverture d’établissements ou de services fermés.

Où sont les 14 000 lits promis par Emmanuel Macron ?

Pourquoi continue-t-il à fermer des hôpitaux ?

La réalité est sans appel, les déprogrammations de soins et d’actes chirurgicaux se multiplient et de nombreux patients atteints de maladies graves voient leur prise en charge retardée mettant en péril leur chance de guérison. Les personnels soignants sont épuisés, exposés et, souvent, tellement en sous-effectif qu’ils renoncent à protéger leur propre santé.

Le président de la République ose rappeler les applaudissements alors que les personnels attendent toujours une véritable reconnaissance salariale et un plan de recrutement de plus de 400 000 emplois dans la Santé, les Ehpad et l’aide à domicile.

Il en est de même pour les annonces concernant l’éducation nationale, pas un mot sur les suppressions de classe contre lesquelles les personnels se mobilisent en ce moment, les sections en sureffectif qui expliquent grandement les difficultés rencontrées pour exercer des missions de service public de qualité et pour protéger et faire respecter les consignes sanitaires de l’ensemble de la communauté éducative. C’est un plan d’urgence massif pour l’emploi dans l’éducation et les universités qui est plus que nécessaire !

Pas un mot en direction de la jeunesse sacrifiée qui souffre et peine à survivre avec des aides dérisoires. Au lieu de cela, les familles vont devoir gérer, du jour au lendemain, un nouveau calendrier de vacances scolaires. Elles risquent d’être confrontées à de multiples difficultés pour concilier la garde de leurs enfants et la poursuite de leur activité professionnelle.

Rien n’est prévu pour éviter que la majorité des parents en télétravail et particulièrement les femmes ne soient dans l’obligation de conjuguer cours à la maison, garde d’enfants et travail.

LIRE LA SUITE -SITE CGT

LA CHANSON DE LA SEMAINE

Solidarité  avec les artistes plasticiens et les graphistes

Pour qu’il y ait des représentations dans les théâtres, des spectacles musicaux, des livres, des expositions et toute notre vie culturelle, il faut que des autrices, des auteurs, des artistes aient créé ou créent des oeuvres. Pourtant, celles et ceux qui prennent le risque de la création sont les éternels oubliés des politiques culturelles.

En cette période de crise sanitaire, les dispositifs compensatoires ignorent 90% des artistes, auteurs et autrices comme ils ignorent l’ensemble des activités discontinues.

Une grande majorité d’entre nous étaient déjà en grande précarité avant la crise. Notre travail n’est bien souvent pas payé, nous ne bénéficions pas du régime de l’intermittence ni d’aucune indemnisation en cas de perte de revenus.

Avec la crise sanitaire, la fermeture des lieux culturels et de diffusion, nombreuses et nombreux sont celles et ceux qui ne pourront se relever si des mesures urgentes ne sont pas prises. LIRE LA SUITE


Site de la fédération du spectacle CGT

Bilan(s)

Déclaration du syndicat CGT des retraités de Chaumont

Un an de Covid, l’heure du bilan. Dans un article surprenant pour une radio plutôt encline à caresser le pouvoir dans le sens du poil, France Info cite ces « onze fois où l'exécutif a évoqué le "bout du tunnel" et le retour "des jours heureux" depuis un an. Presque une intervention télévisée par mois et un mensonge (au moins) à chaque fois : sur les masques, la situation dans les hôpitaux et, entre (re)confinement et couvre-feu,  sur les tests et les vaccins. 

On aurait pu s’attendre, sinon à un repentir, au moins à quelques regrets. Au lieu de  quoi, éberlués, nous avons entendu « Je n’ai aucun mea culpa à faire, aucun remords, aucun constat d’échec ». Reprenant la parole mercredi 31 mars, le chef de l’État persiste et signe, refusant une fois encore de reconnaître la moindre erreur...

L’heure du bilan, ce pourrait être aussi pour la municipalité de Chaumont, un an après son élection. On parlerait alors de cette obsession pour le centre-ville. On y déverse des subventions, mais pour quel résultat ? Au centre, la mairie se concerte avec les commerçants, tandis qu’à la périphérie, au nord et au sud, elle se bouche les yeux et les oreilles. Là, plus de citoyens, des sujets. APL en baisse, loyers en hausse, chômage, et la misère qui grimpe au rythme de la fiscalité de la ville ou de l’Agglo.

L’heure du bilan, c’est aussi au plan social et syndical. De la colère, du refus, du ras-le-bol, là d’un pouvoir rongé par l’argent, ici d’une municipalité sourde aux doléances des habitants. Partout, le même dédain, la morgue propre aux potentats qui se soucient du sort des petites gens comme d’une guigne.

Entre confinement, peur, intimidations ou menaces, le syndicalisme a vécu une année difficile. Notre syndicat des retraités a tout fait pour garder le cap, informer et mobiliser dans cette infernale tempête sanitaire et politique. Parfois avec succès, comme cette manifestation pour que la Réa reste à Chaumont, et parfois avec un résultat plus mitigé comme le 31 mars dernier pour la défense du pouvoir d’achat des retraités.

Le changement le plus notable, dans le contexte actuel d’une gestion chaotique de la crise, c’est la montée en puissance des luttes.

Avril, mai et juin. Trois mois pour s’unir et agir. Avec en perspective le 1er mai, les 150 ans de la Commune de Paris et les mouvements qui vont s’annoncer, pas de doute, le printemps 2021 nous ouvre des perspectives porteuses d’espoir.


Syndicat CGT des retraités de Chaumont

le 7 avril 2021